L'art de la malle maligne
Même vides, certaines malles sont des purs trésors. Détournez-les, faites-leur prendre une nouvelle posture.
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Une jeunesse éternelle, si vous le voulez !
Les malles recèlent de mystères. Elles ont vécu, elles ont vu, elles ont voyagé. Plutôt que de les laisser à leur triste sort au fond de votre garage, tirez-en une seconde jeunesse. Avec un peu d'ingéniosité, vous pourrez facilement embellir votre intérieur. Vous rendrez ainsi à ces grandes voyageuses la place qu'elles méritent !
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2. La matière. Une malle se doit d’être légère, résistante, tout en gardant une tolérance à la flexibilité. L’osier, le rotin, le métal, le bois souple (peuplier, pin...) sont des matériaux privilégiés pour voyager.
3. Bon à savoir. Quelques détails clés permettent d’identifier une malle : les poignées latérales pour faciliter le transport, les lattes de renforts, les fermetures et l’étiquetage avec le nom de l’artisan malletier/emballeur.
Transformer sa malle en... un garde-manger !
Il fallait y penser ! L’envers du décor est pratique, ludique et coloré. Créez de nouveaux meubles en un éclair avec bien peu de budget.
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2. Astuce rangement. Dans une malle repeinte à la bombe spéciale fer (Castorama), a été fixé un support à serviettes pour les avoir à portée de main, mais surtout pour éviter qu’elles ne volent au vent. « Napking support », Casa.
3 autres adaptations
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2. Bien perché. Un garde-manger de terrasse dans une malle anglaise en osier, pour conserver fruits et légumes à l’abri des bêtes. Vide-poches, Maron Bouillie, malle « Back Sack », Casa.
3. Malle à bar. Détournement en table basse d’une malle de voyage en bois. Set de table, housse de coussin rayé, jeté de canapé « Tisselia », le tout chez Maisons du Monde.